Voyage au Vietnam et Tokyo
Octobre
à décembre. 2015.
Préparation :
Après notre expérience de voyage à deux,en Amérique du
sud, nous avons décidés de reprendre l’expérience mais cette fois ci en Asie
milieu que nous ne connaissions pas ni un ni l’autre. Le Vietnam fut le choix,
ce n’est que plus tard que Tokyo c’est ajouté à notre parcours.
Après la lecture en profondeur du guide de Lonely Planet
, j’ai élaboré un circuit qui me semblait diversifié et représentatif du
Vietnam et de sa population, en étant conscient, de tout ce que nous allions
manquer.
Le choix des dates ont été confiés à Yves étant donné
qu’il est encore au travail, les dates choisies, entre le 27 oct. et 30
nov.mais à la vérification des billets d’avion :
De Montréal à JFK New York : 1h30 de vol 5h00 d’attente
De JFK à Tokyo 14h30 de vol et 2h30
d’attente
De Tokyo à Hanoï 5h30 de vol et le taxi pour
se rendre à l’hôtel
J’ai imaginé mon arrière train (cul) c’est alors que j’ai
signifié à Yves qu’à mon retour j’étais pour arrêter à Tokyo Afin de diminuer
les heures consécutives de vols
Et tant qu’à être rendu dans cette ville je me devais
d’en profiter.
Après réflexion Yves a choisi de m’accompagner c’est là
que les dates définitives furent fixées : le voyage avec un arrêt de 5 jours individuels. Pour
nous, avec le type d’expériences que nous avons, combiné à nos besoins le
simple sac à dos nous offraient certains
avantages :
Le choix de la façon de voyager :
La légèreté d’équipement.
La facilité douanière et la rapidité de passer celle-ci.
L’utilisation d’un nombre restreint de vêtements, nécessite
à un lavage régulier.
La facilité de déplacement.
N.B. :
Mon
sac avait un poids de 8.4 Kg, et à la fin du voyage; deux pantalons longs, deux
chemises un gilet lourd et un léger non jamais été portés.
Départ :
C’est le 26 oct. à 18h30 que nous partons pour Montréal
chez Pierre Luc, afin qu’il nous conduise à l’aéroport, après un arrêt de
quelques heures chez lui il nous conduit et c’est à minuit que nous faisons le
vrai début de notre projet. Notre vol n’est qu’à 6h00 du matin, il nous faut
attendre, mais comme nous sommes frais et dispo nous en profitons pour
sommeiller sur les bancs froid de granit de l’aéroport (si cela était arrivé à
notre retour je pense que nous n’aurions pas trouvés le même confort à ces
bancs).
Comme il y a toujours une petite angoisse d’affronter ces
douaniers, nous passons en premier et les procédures de dédouanage furent faciles
et rapide, comme nous voyageons de questionnement en questionnement, mais
comment ça va aller dans les aéroports que nous ne connaissons que par la
littérature, ça aussi c’est une petite angoisse (ici je parle pour Yves bien
entendu).
Nous avons eu un superbe vol et à notre arrivé à JFK nous
devons passer du terminal 1 à 8 mais en suivant les indications et en prenant
le petit train en circuit circulaire un petit arrêt et nous sommes arrivés,
notre transfert c’est fait en un rien de temps. Mais je me suis toujours posé
la question, quand nous sommes en transit pourquoi faut-il passer à nouveau les
douanes, mais peu importe tout a été facile, et le fait de ne pas avoir à
attendre nos bagages sur le carrousel nous sommes toujours dans les premiers
avec des douaniers frais et dispo.pour nous recevoir.
Enfin nous partons pour Tokyo avec la compagnie Japan air
lines , c’est une première avec cette entreprise, comment nous ferons-t-il
passé les prochaines 14h30 de vol. Les agents de bord nous accueillent avec
leur sourire asiatique. Le vol c’est très bien déroulé, mais 14h30 le cul sur
un banc c’est 14h30, plus le temps avance les positions changent et nous
prépare à travailler pour le cirque du soleil avec nos contorsions. Après avoir
traversé le Canada la Chine et j’en passe nous arrivons à Toooookyoooo à
l’aéroport de Narita. Nous répétons encore les procédures et en suivant les
indications bilingues nous sommes prêts en un rien de temps à attendre notre
vol. Nous entamons cette dernière étape d’un simple 5h30, mais avec le cul en
compote cela nous paraît un peu long et nous sommes un peu fatigué de voir tous
ces films pour occuper notre esprit, mais le vol c’est bien passé et ce sourire
asiatique des agents de bord me crée un baume à ma douleur de où vous savez.
Enfin ce sont les dernières procédures avant que l’on mettre le pied à terre
(nous ne prenons pas le temps de faire comme Jean Paul 2). Ça y est good morning
Vietnam et Hanoï.
Lors de ma réservation de l’hôtel j’avais inscrit la
possibilité d’avoir quelqu’un qui nous accueillerait pour nous amener à notre
l’hôtel. Quand nous arrivons dans les aéroports du Québec et ailleurs, il faut
chercher si nous ne connaîtrions pas quelqu’un. Mais ici c’est tout autre. Une
horde de personnes nous abordent, pour le taxi, les hôtels, les tours guidés,
mais je ne vois pas mon nom à nulle part sur les écriteaux, nous demandons à
une personne s’il connaissait notre hôtel, parce que nous prenons la précaution
de toujours avoir en main nos infos sur papiers. De une personne, nous sommes
passés à dix puis à quinze tous voulaient savoir ce que nous voulions et ce
sont mis à la recherche de notre hôtel après qu’ils aient trouvé nous les avons
remerciés et nous nous sommes dirigés au guichet de taux de change afin d’y
retirer quelques millions de Dong. Un petit arrêt au centre d’information pour
des informations sur la ville et notre hôtel, pas de problème elle se dépêche
de nous informer qu’elle s’occupe de tout. En prenant le taxi qui nous a couté
$22 us , la fille du centre d’information en profite (gratuit) pour nous
accompagner jusque chez elle le taxi nous amènera à notre hôtel après.
C’est notre premier contact avec le Vietnam et Hanoï, le
taxi avance à pas de tortue malgré qu’il n’y est pas de circulation, malgré la vitesse
à laquelle il va, son klaxon fonctionne
très très bien, maintenant que nous avons laissé la préposée de l’information
nous sommes laissé seul avec notre chauffeur qui ne parle que le Vietnamien,
c’est dans un quartier un peu sombre et bondé de monde qu’il nous laisse en
nous montrant une ruelle encore plus sombre avec aucune indication d’hôtel,
mais avec son signe de tête nous n’avons pas beaucoup de choix il est 23h30,
nous nous engouffrons dans l’inconnue mais après une courte distance notre
hôtel apparaît ouf nous y sommes, deux jeunes nous accueillent et nous nous
rendons à la chambre, malgré que cette chambre nous offre un accueil mitigé
nous sommes heureux d’être arrivés. Pour compenser la fatigue du voyage nous
décidons d’aller prendre une bière, le milieu ne semble pas agressant mais nous
sommes nouveaux et ne connaissons pas les coutumes, plusieurs jeune en moto
(scooter) nous abordent pour nous offrir femmes et drogue, vite nous
choisissons d’éviter les bars et d’acheter notre bière dans un dépanneur pour
aller la prendre à l’hôtel. Tout au long de notre retour beaucoup de femme lave
leur vaisselle dans de petits plats le long du trottoir et il y a toujours ces
motocyclistes qui nous abordent gentiment. Une bonne nuit de sommeil et demain
l’ont part.
29-10-15
Cette deuxième journée était supposée servir à ne rien
faire et absorber le décalage horaire. Mais comme deux jeunes ados plein
d’énergie nous partons à la découverte de ce mystérieux secteur de la ville qui
nous a tant impressionnés la nuit dernière. Nous sommes situés dans le centre
du centre de la ville, notre micro ruelle c’est transformée en rue commerçante
(micro commerce bien entendu) nous trouvons du jus, des brochettes, cigarettes
et autres.
Nous marchons accompagnés des klaxons qui viennent de
partout, la circulation est une folie, ils nous manquent des yeux pour regarder,
les commerces fixes et mobiles (c’est-à-dire avec des vélos, des motos, et à
pied avec une tige de bambou tenant des paniers aux extrémités) les gens. Nous arrivons
à un coin des rues mais pas de feux de
circulation et des motos partout, l’observation des gens et l’analyse commence,
go, ont traversent comme eux, coup de chance cela a marché, à la vue de notre
premier ATM guichet automatique l’on en profite pour se familiariser et sortir
5 millions chacun des Dong bien entendu, notre première visite culturelle fut le lac Hoan
Kiem avec son temple situé sur une petite île relié par un pont.
J’en profite
même pour m’assimiler à la population et me faire photographier avec une
Vietnamienne qui allait se faire prendre en photo par son ami. À notre retour
comme à mon habitude nous empruntons un autre chemin de façon à
faire des découvertes imprévues, nous trouvons notre premier restaurant nous
commençons dans le luxe. L’on s’installent au deuxième étage pour mieux
observer la vie des gens. Ici la soupe est de mise n’importe quand du matin au
soir, elle goûte toujours pareil il ne faut que choisir la sorte de viande.
Nous allons poursuivre notre balade (pour des gens en
repos) à travers les rues étroites mes combien occupées. Ici pour ouvrir un
restaurant ou un bar c’est facile, il s’agit d’avoir quelques bancs de
plastiques et un petit bruleur au gaz, si d’autres clients arrivent pas de
problème il n’y a qu’à ajouter des
bancs.
Nous avons profités de ce petit restaurant pour prendre
une petite entrée accompagné de bière locale qui est excellente. Les gens en
profitent pour nous montrer la façon de faire avec les sauces et viandes, nous
deviendrons des experts. Une petite marche encore et nous arriverons sur ce qui
deviendra notre activité favorite, un marché public, rien à voir avec celui de
St-Foy surtout dans la partie boucherie, ou les viandes vivantes cohabite avec
les viandes mortes. Beaucoup de personnes entre dans le marché en moto klaxonne
paie prennent leurs achats et s’en vont sans jamais débarquer de leur véhicule.
Encore une bonne marche nous retournons à notre chambre mais avant d’arriver il
y a quelques bancs près d’un mur, donc
sûrement un bar, il y a une rangée de banc en bois et une en plastique,
on a vite appris que celui en bois c’est pour la bière, le plastique est pour
nous. À notre départ nous étions rendus à 7 rangés de bancs de plastique
.
Devant ces
bars régulièrement il passe des gens pour offrir de la bouffe et à observer
quelques fois ces gens viennent aider au service, une matronne elle s’occupe de
comptabiliser ce que vous consommer, comme le bar est volatile elle a du
boulot. Ce sera notre souper ce soir, une bonne douche fraiche nous attends
(pas d’eau chaude) ont a quand même payé $8 canadienne pour deux avec déjeuné,
je pense qu’ils ambitiionnent sur nous.
30-10—15
Après ce
petit déjeuné nous partons à la découverte de la capital et de sa vieille ville,
rue après rue à travers le cahot des motos nous découvrons des commerces de
toute sortes qui sont hors de notre imaginaire avec des gens qui s’affairent au travail tandis qu’une
multitude d’autres sont au café et je devrais plutôt dire au thé. Ici le thé
est offert à toutes occasions chaud ou froid, quelques fois à la sortie du bar
il y a une grosse glacière et les gens se servent eux même à la louche. Lorsque
nous cherchions de la bière régulièrement je disais à Yves ici non ce sont des
buveux de tisane, pas de Bia (bière). Malgré tout les racoins de la ville que
nous ayons visités jamais nous nous sommes sentis en danger ou mal à l’aise, et ce n’était pas toujours
touristique. C’est cette journée que nous avons commencé à visité et manger
partout
Quand nous
parlons de manger,nous avons remarqués que les gens qui grignote ou mange jette
tout par terre, nourriture, bouchon, nappe de table ect…pourquoi? J’ai pourtant
posé la question sans réponse??? Après le repas un préposé passe le balai et ça
recommence. Dans les rues où les restaurants et bars s’accumulent le soir c’est
très malprope mais à partir de 1h00 du matin le tout est nettoyé comme si rien
ne c’était passé. Pour ce qui es de la bouffe un Vietnamien m’a dit que tout ce
qui bouge ce mange au Vietnam.
01-11-15
Aujourd’hui
nous nous attaquons à la recherche du monument de Ho Chi Minh un ancien général
des armées Vietnamienne et qui a donné son nom à la ville économique de Saïgon,
nous entendons les deux noms pour nommer la ville économique. J’oublais
maintenant nous sommes des pros pour traverser les rues n’importe où et n’importe
quand ,avant d’arriver à ce fameux monument nous découvrons un milieu plus
cossus ou les ambassades ce succèdent , Une petite bruine qui dure 10 min. nous
accompagne mais à 28 degré ont ne peux se plaindre(pensant au Québec). Nous
arrivons sur une grande place gardée par des militaires c’est beau mais nous ne
pourrons entrer c’est dimanche et Ho Chi dort, mais les lieux sont agréable à
visiter. Comme nous avons marché beaucoup je sort ma tablette au plaisir de
Yves pour nous ramener au plus vite à l’hôtel. Malgré le septicisme de Yves
parce lui il sait ne pas si nous sommes encore à Hanoï, et oui par les
nouvelles petites rues toujours en découverte nous retrouvons rapidement notre
chez nous et la rue de la bière à $0.20 sous la bière nous en prendrons au moins deux. À
cause de la chaleur nous prendrons une douche avant de repartir, nous sommes
obligés de repasser à la rue de la bière pour aller souper, ce n’est pas ce que
vous pensez, nous irons souper,après un petit arrêt bien entendu.
02-11-15
Notre circuit
devait nous mener vers Sapa en circulant dans le sens horaire pour mieux
visiter le nord du Vietnam, mais comme nous sommes deux solitaires sans
obligation de visite, nous avons changés notre destinée et avec la
collaboration de l’hôtel nous allons nous rendre pour deux jours dans la baie
D’Halong. L’hôtellier nous offre trois forfait celui à : $40, $65 et$90
us, comme nous viendrons qu’une fois visiter ce lieux rendu mitique par James Bond et plus nous prendrons
celui à $90. Le départ et le retour se font directement de l’hôtel (ce qui est
facile dans ce pays contrairement à d’autres les hôteliers peuvent vous
organiser ce que vous voulez, taxi, bus ,avion, tour guidé,moto et…)
Le milieu
marin de la baie d’Halong est magnifique, les paysages sont époustouflants ,
mais c’est très touristique, la nourriture sur le bateau est plus que
satisfaisante, mais ceux qui ont payés $40 ont les mêmes avantages que nous
(nous serons plus vigilant dans la prochaine situation). Nous avons visités une
grotte immence qui a déjà servit pour cacher la population de guerre.Ont nous
ferras aussi visiter une perlière ou tout est manipulés à la main étape par
étape, maintenant la valeur des perles est plus acceptable pour nous.
À notre
retour à Hanoï la deuxième journée nous en profitons pour aller voir si la rue
de la bière n’aurait pas changée d’endroit ,ben non.
05-11-15
Maintenant
nous partons pour notre trajet vers Sapa, nous prenons un autobus local vers
Hoa Binh, nous observons les paysage et les gens changer en avançant vers les montagnes. Nous fesons face à une
autre méthode de conduite, le chauffeur lorsqu’il dépasse un véhicule courbe ou
pas (ben oui il klaxonne 1,2,3 fois) s’il vient un véhicule il se rabat, mais
si ce sont de simples motos il continue les motos se tassent. Rendu à la gare
de Hoa Binh plein de monde entre dans le
mini bus pour nous offrir taxi, moto taxi, hôtel. Après négotiation 2 motos
nous amèneront à notre hôtel, yes nous avons de l’eau chaude et la
climatisation, parce que la chaleur persiste, nous avons une très belle
chambre,cette fois, ont avait mis le paquet $20 pour 2 avec déjeuné. Après la
douche nous partons visiter la ville juste pour voir et prendre une bière bien
sûr. Nous avons l’air d’extra terrestre parce qu’ici nous ne croisons pas de
touriste, les gens nous disent bonjour, toujours avec ce sourire. Le jeune
gérant nous amènes à la bière pour pratiquer sont anglais et nous parler de sa
ville .
Le lendemain
après le déjeuner les gens de l’hôtel , gérant,agent de sécurité, préposée à
l’accueil, préposée au ménage,viennent nous dire aurevoir et prendre la photo.
Nous
reprenons la route pour Son La, village un peu plus au nord et près de la
frontière du Laos,comme le trajet est plus d’une heure le chauffeur fait un
arrêt bouffe et pipi, les installations ne sont pas toujours conforme .
À notre
arrivée, comme à l’habitude ont négocier notre transport vers l’hôtel, les
procédures de la réservation aussitôt faite (ont nous as toujours dit prend
soin de ton passeport et ne le donne à personnes, ici tout les hôtels nous le
demande) petite douche et nous sommes partis à la découverte de la ville, encore
ici aucun touriste en vue, nous sommes deux intrus dans la ville, tout le monde
sont heureux de nous saluer. Lors de notre souper deux jeunes filles prennent
des photos de nous et nous montrent comment manger notre repas.
Je serais demeuré
encore quelques jours pour visiter la région mais un mois c’est vite passé,
donc nous devons partir pour Dien Bien Phu village dans les montagnes et à
proximité de la Chine. La circulation est lente avec notre minibus à cause des
courbes et des côte, qui ce succèdent, mais pas de problème le chauffeur
dépasse quand même. Là nous sommes isolés parce qu’ici le touriste ne s’y rend
pas vraiment, mais nous avons droit à des sourires et bonjours de la part de
toute la population. Même loin de tout nous mangeons très bien et nous nous
sentons toujours en sécurité.
Aujourd’hui ce
sera une grande journée d’autobus à cause des courbes, montagne et que nous
aurons un transfert pour se rendre à
Sapa, la ville touristique du Nord. Ici les bus locals ont une heure de départ
mais pas d’arrivé,au départ le chauffeur reçoit constament des appels de
clients, ils sillonnent les rues principale pour avoir le plus de clients
possible, son assistant qui se charge de faire payer, charger le toit et
pousser les gens pour que tous entrent, le toit est chargé d’objet et animaux compris . Nous sommes les
premiers à entrer par chance parce que plus ont avance dans la ville plus il y
a du monde dans le bus, pour un 23 places nous sommes rendu à 60 et le
chauffeur cherche encore des gens qui refusent à cause de la place. Une chance
que l’ont peu ouvrir les fenêtres sinon la chaleur serait difficile à
supporter. Les arrêts sont un baume pour se dégourdir, mais une belle
expérience que de voyager avec la population.
La journée
est longue mais nous pouvons voir les villages et paysage de la région, Le
transfert pour Sapa c’est bien passé mais rendu à Sapa nous sommes en soirée
donc difficile de prendre des repères nous sommes un vendredi donc beaucoup de
monde dans la ville et l’hôtel que j’avais sélectionné, c’était complet nous
avons dû nous rabattre sur un hôtel de l’autre coté de la rue et pour $20 us
nous avons eu une chambres (ici je ne parlerai pas de la chambre) .Nous avons
toujours trouvés difficile d’arriver dans un nouvel endroit le soir. Mais nous
sommes en plein centre ville, et les artisants des montagnes étalent dans la
rue les objets qu’ils fabriquent (comme c’est un lieu touristique l’on peut
sans se tromper les objet qu’ils achètent et revendent)
07-11-15
Nous partons,
explorer la ville et surtout un endroit pour prendre un désjeuner, il fait
encore beau et c’est sur terrasse que nous prendrons le café, la veille nous
avons croisés quelques ethnies qui vendaient leur production le long de la rue
et ce matin c’est des personnes des Black Monk qui nous ont aborder pour nous
proposer un couche en famille dans les montagnes au nord de Sapa, nous
visiterons la ville plus tard. Nous partons avec Mo et sa mère accompagné de trois
Tchecoslovaques. La montée est un peu pénible avec le sac à dos mais nous
résisterons à ces 8 km de montée. Le long du chemin Mo fait ses achats pour
nous nourrir.
Ils
s’approvisionnent à deux épiceries une à 8 km l’autre en montagne à 1.5km de la
maison. Le père est au travail à faire cuire une partie du repas sur feu de
bois dans la cuisine. Comme à l’habitude elle cuisine sur sa planche de bois à
même le sol et c’était excellent. Après le repas le père sort un alcool de
riz,cela lui permet de prendre un verre, Mo doit nous traduire c’est la seule
qui parle anglais, le père nous quitte il doit aller nous chercher de la bière
(deux heures de marche). Le souper fut tout aussi agréable, et ce soir nous
coucherons à l’étage sur une paillasse, de la paille de riz recouvert d’une
grosse couverture.Le lendemain matin, c’est la mère qui nous prépare le
désjeuner,et elle vient nous conduire au sentier principal parce que deux
motocycliste nous attendent pour nous ramener à Sapa. Cette fois nous pourrons
prendre un hôtel plus convenable que la précédente. Nous allons en profiter
pour visiter la ville, qui si elle n’avait pas les différentes ethnies avec
leur artisanat ainsi que les tours guidés n’offrirait que peut d’intérêt aux
touristes. C’est encore au marché public que nous irons prendre le repas.
Dépuis le
début j’ai oublié de parlé du café notre boisson du matin.C’est un café filtré
de dimension expresso très amer et peu invitant à notre goût, mais j’ajoutais
un condensé très sucré et
Épais de lait
donc correct comme boisson,plus tard j’ai découvert que les gens le prenais
dans un grand verre de glace, maintenant le café devenais plus agréable.
Aujourd’hui
nous prenons l’autobus grand luxe avec couchette vers Hanoï demain selon les
projets nous prendrons l’avion vers Danang. Mais selon notre évaluation il est
plus simple de prendre l’autobus de nuit vers Hue (le film un hôtel de luxe au
Vietnam motre de belle image du Hue et des alentours)à proximité de Danang.
Et à
proximité de la mer aussi.L’hôtel que nous avons choisis jamais nous ne
l’aurions trouvés si ce n’avait été du chauffeur de taxi, elle était située
dans le fond d’une ruelle. Nous recevons un accueil des plus chaleureux, petit
désjeuner avant de voir notre chambre qui est très bien.Nous demeurerons trois
jours ici à visiter et profiter du temps et de la chaleur, d’ailleur nous
prenons toujours une douche en après midi question de se rafraîchir. Nous
préparons un gros sac de linge à faire laver, l’on nous rendra notre sac, tout
prope et plié, le soir même pour $2.50 .La ville est très reposante, calme et
beaucoup de lieux à visiter, un grand cours d’eau sépare la ville,nous nous
rerouvons rapidement dans la vielle ville qui borde la cité impérial.Une
personne qui nous aborde pour que l’ont visite la ville dans son vélo, il nous
suit jusqu’au kiosque où l’on peut avoir une bière fraîche, il en profite pour
nous expliquer la ville et ses
recoins.Demain nous reviendrons visiter cette cité impérial.
En se
déplaçant pour se trouver un endroit pour allé souper nous croisons plein de
gens qui font des petits feux sur le bord de la rue, ils brulent du papier,
nous sommes sans réponse sur le sujet, pas de problème nous aurons un bon
souper tout de même.
La deuxième
journée à Hue nous avons engageons une guide avec son frère à moto pour nous
amener visiter les différents sites touristique qui sont éloignés les uns des
autres. Elles ne mangera pas avec nous parce que c’est la fête de Bouhda, et
c’est la raison des feux de la veille
J’en profite
pour faire quelques achats avec la guide qui nous amène au bon endroit. Le
reste de l’après midi nous en profitons faire le tour de la cité impériale et
revoir notre cycloporteur et se rafraîchir à l’ombre des arbres.
Les cyclos
porteurs font toutes sortes de transport
Après un
copieux désjeuner enfin nous irons la voir cette fameuse citée impériale,
malgré les dégats de la guerre c’est impressionnant d’imaginer la vie du temps.
Nous avons beaucoup marchés la ville nous
connaîssons tout les racoins de la vielle ville.
Aujoud’hui
nos plans changent encore le mini bus vient nous chercher à l’hôtel et c’est
vers Hoan que nous allons nous diriger un petit 3 heures et nous y sommes, le
chauffeur connaît l’endroit de notre hébergement, nous entrons dans une
magnifique demeure avec nos bagages, le proprio vient à notre rencontre, oups
c’est une maison privée un jeune anglais nous annonce que c’est sa maison
privée mais sa compagne Vietnamienne nous offre un verre d’eau et appel un
taxi, c’est le même chauffeur qui revient cette fois il nous amènera au bon
endroit. Nous sommes un peu déçu parce que l’hôtel est un peu isolé ,et pas
vraiment situé au centre ville mais c’est un très bel emplacement.
Ont nous
offre une chambre à un lit, nous demandons une chambre deux lits avec un visage
expressif. Une nouvelle chambre nous sera offert pour 2 nuits sur 3 parce que
des gens ont déjà réservés, ca va, ont reste. Comme l’hôtel a des vélos nous
visiterons à vélo cette fois, deux choix vers la droite c’est la mer à 10 min.
et à gauche le centre ville à 10 min. La
mer est notre choix , au stationnement les selles sont numérotées et nous
partons marcher cette splendeur , le mauvais temps de l’été a fait des ravages
à la plage mais beaucoup de gens sont à consolider et ensabler les lieux. À
tout les 20 mètre il y a des restaurants avec chaises mais qui n’obstrue pas la
plage . J’obtiens des chaises gratuites
en promettant de boire et manger à leur restaurant (sinon on va ailleur, toute
une négotiation). Ici c’est le grand luxe ils nous apportent la bia (bière) à
nos chaises la bouffe aussi, au Québec ce serait un péché de luxure, ça c’est
du temps passé. En alternance nous allons nous baigner en bobette la prochaine
fois nous arriverons mieux équipés, l’eau est exquise pas comme à old orchard dans la maine, meilleur.
Régulièrement des Vietnamiennes passent pour vendre des cossins nous succombons
sur les pinottes pas plus. Pendant ce temps les pêcheurs de crabes se promènent
dans leur coquille de noix.
Après la
baignade et encore une douche nous allons à gauche cet fois vers la ville,
comme nous passons à coté du centre c’est une autre partie de la ville
que nous visiterons au retour nous prenons un autre chemin mais qui rallonge
notre trajet et nous fait passer par la mer, comme ont se fait interpeller par
tout les restaurateurs que l’ont croisent, c’est le long d’une rivière et pas
très loin de notre hôtel que nous choisissons de nous arrêter pour appaiser
notre faim.
Voyage
au Vietnam et Tokyo
Octobre à décembre. 2015.
Nous sommes toujours à Hoi An et comme nous en sommes à
la phase repos du voyage tous les matins nous nous rendons au marché et dans la
vieille ville et l’après-midi la mer. Comme le proprio se sentait coupable de
nous changer de chambre, il nous a offert le souper au crabe frais. La
réceptionniste nous servait d’interprète, mais il va apprendre l’anglais pour
l’Ans prochain.
Après tout ce repos nous partons pour une journée à
Danang parce que nous devons prendre l’avion pour Ho Chi Ming, C’est la
première fois que le mini bus nous prend à l’hôtel et nous laisse à l’hôtel et
pour demain nous serons à 15 min. à pied de l’aéroport. Comme à l’habitude
aussitôt notre inscription à l’hôtel
nous partons pour une longue marche sous un soleil de plomb. Comme c’est une
ville balnéaire nous commençons par la mer.
À notre retour nous sommes confrontés à la circulation
mais pour une bière nous passerons à travers et nous avons de l’expérience.
Qui dit balnéaire dit aussi hôtel pour accueillir les
touristes et pas de belle vieille ville, une chance nous y serons seulement 1
grande journée, mais nous avons pris le temps de visiter les arrières de la
ville.
C’est génial de se trouver seulement à quelques pas de
L’aéroport, et les vols intérieurs se passent toujours bien. Je ne sais
pourquoi j’ai donné mon sac à dos pour la première fois afin qu’il soit dans la
soute à bagage, et on m’a chargé 300 dong, à cause du surpoids (l’humidité et
les cadeaux ont alourdies mon sac) .
Nous voilà arrivés dans cette capitale économique encore
à la noirceur, comme nous arrivons en soirée et que nous devons reprendre
l’avion j’ai choisi un hôtel à proximité de l’aéroport. Ici une barrière nous
dirige là où les taxis défilent le premier refuse de nous prendre probablement
pas assez payant le deuxième nous y amène mais ne connaît pas vraiment ce coin
reculé (trou) de la ville, même si nous ne sommes qu’à 1.6km, l’accueil est
mitigé parce que je veux faire changer des dates de réservation et tout est
compliqué , mais j’ai recours à mon spécialiste en informatique (Sébastien) et
au lieu de changer les dates je les annulent tout simplement.
Après une journée comme celle-là nous allons prendre un
bon souper, nous avons droit à des chanteuses amateurs (je ne m’habituerai jamais à la chanson
Vietnamienne) quant à notre souper Yves pour la première fois n’a pas touché à
son assiette, c’était des petits coquillages mais fermés ??? et moi j’avais une
petite portion, plus tard un guide m’apprendra que c’était du chien, mon
apprentissage de la langue Vietnamienne n’est pas encore à point. Nous allons
manger à nouveau dans un autre restaurant, mais de rue cette fois.
Le lendemain, matin nous nous empressons de trouver un
taxi pour se rendre au centre-ville qui est à 1400 dong (environ $15) donc loin.
Mais ma première vision à ma sortie pour prendre le taxi sur le palier de la
maison voisine de l’hôtel deux chiens d’élevage mort qui attendaient d’être
mangés. Après un petit déjeuné nous nous rendons dans un commerce d’excursion
parce que nous voulons nous rendre visiter le Mékong. En un rien de temps le tout est réservé.
Maintenant nous sommes à la recherche d’un autre hôtel
plus centre-ville pour notre retour dans cette ville.
Après tout ce travail nous allons nous désaltérer avant
le diner, par hasard nous croisons une Française solitaire qui est heureuse de
parler un peu Français, nous lui offrons une bouteille d’eau. Maintenant nous
nous dirigeons dans nos lieux favoris le marché pour prendre un bon repas. À
notre sortie nous croisons notre Française qui nous fait visiter son quartier
plus luxueux que le nôtre, elle habite dans l’hôtel où a été tourné le film
Indochine, elle paie 140 Euro la nuit et se plaint du bruit.
À notre retour, un groupe de jeunes nous interpellent
dans un parc, ils veulent pratiquer leur anglais et sorte leur carnet pour
mémoriser leurs questions et écrivent quelques réponses, ils ne savent pas que
l’on ne parle pas anglais.
Après un bon souper nous retournons en taxi à notre hôtel
et le lendemain nous prendrons le chemin inverse parce que notre excursion par
à 8h, nous trainons nos bagages, nous quitterons le bus avant le retour. Le
guide parle un anglais incompréhensible mais il est sympathique, nous visitons un
temple et assistons à une partie de la cérémonie.
Après nous aurons une promenade en bateau sur le Mékong,
avec repas et petite balade en canoë. Très belle journée et c’est à My Tho que
nous laissons le groupe qui doit revenir à Ho Chi Ming. Ici nous n’avons rien
de réservé mais en un rien de temps quelqu’un nous aborde pour nous informer de
la meilleur place mais nous allons continuer notre chemin, à peine 50 mètre
plus loin un motocycliste nous donne la carte de l’hôtel de sa sœur, nous
décidons de nous rendre pour voir les lieux. Belle place, et notre motocycliste
nous y attend, après discussion sur My Tho nous décidons de louer des motos et
accompagné d’un guide pour visiter la grande région de My Tho.
Notre hôtel est situé à proximité du marché et d’un bras
du Mékong. Après une longue marche à visiter le marché et les maisons le long
du cours d’eau, l’on ne sait pas trop si c’est petites maisons ont la façade
sur la rue ou le cours d’eau. Mais chacune d’elles si petites soient
–elles possèdent un lieu pour prier.
Nous sommes un vendredi et à notre retour du souper il y a une scène de karaoké
devant notre hôtel, ouch…
Pendant le spectacle je vois une dame qui installe une
chaise, vraisemblablement pour son conjoint, mais je m’empresse de m’y asseoir
et la dame a fait une mine de grande surprise, je lui ai sourie et je suis
parti lui montrant la blague, mais elle s’est ravisée et m’a invité à prendre
la place, ce que je refusé bien entendu.
Nous sommes chanceux ce matin nous partons en expédition
avec nos motos, chanceux parce que c’est samedi et la circulation sera moins
hasardeuse. Avec le guide nous passons une magnifique journée et c’est lui qui
m’a appris comment s’appelle un chien en Vietnamien. Au début nous étions
hésitants avec nos motos mais à la fin de la journée nous allions bonne allure.
Le guide nous a amené à des endroits hors des sentiers touristiques.
Comme à l’habitude les gens de l’hôtel nous ont organisés
notre départ vers Can Tho , on nous offre le café le temps d’attendre
l’autobus. Le trajet n’est pas trop long et cette fois l’hôtel est déjà
réservé, nous sommes situés tout près du delta du Mékong et en procédant à la
gestion de la chambre nous en profitons pour prendre un tour pour le lendemain,
afin de visiter le marché flottant et de mieux comprendre leur façon de vivre.
Devant notre hôtel quelqu’un s’est déclaré mécanicien il
fait la réparation de camion dans la rue au Québec avec le climat et les lois sont commerce prendrait fin
rapidement. J’ai appris à mon compagnon à se servir de sa tablette pour suivre
son chemin et surtout de revenir au point de chute, depuis ce temps je dois
prendre des photos et lui montrer ce qu’il n’a pas vu, il a toujours le nez
accroché à son écran, à son retour à Pont Rouge il ira sûrement faire ses
emplettes avec la tablette.
Notre journée commence à 5h du matin pour faire la visite
guidée du Mékong, nous sommes 4 dans la petite embarcation plus le chauffeur et
notre guide.
Le moyen le plus facile à l’époque pour transporter la
marchandise était la voie navigable et malgré le système routier la tradition
persiste. Les gros bateaux vont chercher la marchandise descendent le Mékong et
les petites embarcations vont s’approvisionner pour aller vendre au marché. La
marchandise des gros bateaux est affichée à l’avant du bateau, l’on attache les
différents produits à une longue perche, cela évite les abordages inutile de la
part des petits bateaux. Nous avons visités des commerçants qui font la
transformation du riz. Nous avons passés une très belle journée mais un peu épuisant.
Notre séjour à Can Tho est merveilleux. Demain nous partirons vers Rach Gia
parce que nous irons visiter l’île de Phu Quoc et c’est la ville où il est plus
facile de traverser avec des bateaux rapides.
Lorsque nous arrivons à la ville de Rach Gia nous
refusons toutes les offres de transport, trop chère selon nous, nous irons
prendre un café à la place. Maintenant en quête de taxi oups y en a pas mais
deux motocyclistes nous abordent, nous nous entendons pour 100,000 dong pour
les deux, l’hôtel est à environ 20 km, sur notre trajet notre première pluie
nous arrête de circuler pour quelques instant. Rendu à l’hôtel je donne 50,000
dong à mon chauffeur mais celui-ci en veut deux fois plus, une vive discussion
à propos de la négociation de départ, j’ai gagné mon point mais le chauffeur
est parti en furie (crisse au Québec).
En prenant notre marche nous nous sommes rendus à la
marina pour prendre notre billet de traversé et voir un peu les
infrastructures. À chaque fois que nous voyons de la nourriture de rue l’on
regarde et souvent l’on essaie.
C’est à déambuler au gré de nos instincts que nous
trouvons des éléments différents de chez nous. Et dans le métier de la
construction les règles ne sont pas du tout comme nous.
Notre traversé en hydrofoil vers l’île de Phu Quoc c’est
passée en 2h30 avec une belle température. Rendu sur l’île nous n’avons pas
beaucoup de choix de transport, nous choisissons un mini bus qui nous laisse
sur la route principale en nous indiquant que l’hôtel était plus loin dans la
rue, au moins nous sommes de jour mais nous devons marcher près de 500 mètre
avant de trouver notre nouveau logis. Yves fait presqu’une dépression parce
que nous sommes loin du centre-ville
mais nous avons une belle chambre et comme à l’habitude nous sommes bien
accueillis. Nous marchons vers le centre-ville et un petit arrêt à la mer, nos boxers sont
tout indiqués pour profiter de cette eau chaude. Il faudra tout de même faire
un arrêt dans un petit bar pour faire oublier cette chaleur, c’est un jeune
Français marié avec une Vietnamienne qui est proprio, nous y reviendrons afin
de mieux connaître la façon de faire des habitants de l’île. En après-midi nous
passons par le marché de nuit mais il n’y a rien à voir ici mais le marché lui
ça grouille de partout.
Après notre visite nous retournons à l’hôtel qui est
situé à 2.5km du centre-ville, pour prendre une douche et être prêt pour notre
escapade de souper soirée, nous serons trois jours à visiter l’île. Nous allons
voir le marché de soirée, il y a plein de petits restos qui offrent différents
menus et c’est bondé de monde soit qui mangent ou qui déambule, demain nous
viendrons souper.
Comme il y a peu à visiter et que nous ne sommes pas ici
seulement pas la mer, nous louons des motos pour 2 jours à moins de $8 par
jour, c’est facile à conduire et sur l’île il y a moins de circulation. Nous
partons pour notre première expédition dans le sens horaire, nous mêlons aux
sons et odeurs de l’île nous empruntons tous les sentiers qui semblent nous
mener quelques parts. après avoir circulé sur quelques sentiers qui nous mène
nulle part, traversé le marché, la ville c’est la mer qui va nous accueillir.
la
côte ouest regorge de belle plage, des petits arrêt et nous repartons. Plus
nous avançons plus il y a des travaux de développements hôteliers de grande
envergure, ce qui nécessite des travaux routiers aussi. La terre du chemin est
rouge et comme il a plu la nuit dernière
à certains endroits il faire attention, c’est glissant comme sur la glace mais
avec des rayures de roues de camion, la mer nous aiderons à reprendre nous et
les motos nos couleurs d’origine.
La construction semble chaotique et non structurée un peu
à différent endroit, soit que ce soit tous des projets de promoteur différents
ou c’est comme ça ici. Et tout à coup à l’extrémité de l’île un centre de jeu
comme Disneyland perdue au milieu de nulle part, et à proximité là où la population
est minime, un hôpital qui semble des plus moderne lui aussi seul dans son
milieu (est-ce pour les futurs touristes, là est la question)
Mais en continuant plus au nord les petits villages de
pêcheurs apparaissent. C’est l’heure de faire demi-tour demain nous partirons
dans le sens anti horaire.
Pour le retour le routes sont super belle, mais rendu au
village nous nous retrouvons en plein cœur du marché et c’est l’heure des
emplettes , vite un raccourcie qui nous amène dans les rues très très étroites
de la ville, à peine plus large qu’un trottoir, il est difficile de s’orienter
mais nous allons y arriver
Une bonne douche, pour enlever ce rouge de la route
ou sentier un petit repos et c’est
reparti, un petit arrêt à notre bar pour un apéro et une entrée, et c’est au
marché de nuit que nous nous dirigeons, il y a tellement de monde et d’offre de
nourriture qu’il est difficile de faire un choix, mais les produits de la mer
sont de mise, le poisson sera le choix.
Aujourd’hui après un excellent déjeuner nous repartons
dans l’autre sens de l’île avec la même approche, sentier et route, cul de
sac…La circulation de camion est plus dense, de ce côté aussi les travaux
d’infrastructure sont important les hôtels plus avancés ( de 500 à 1000
chambres par hôtels) Même si les hôtel sont en retraient de la mer, le nombres
de chaises et de palapas sur la plage vont dénaturer les lieux. Les métiers
traditionnels vont probablement disparaître, les gens iront travailler dans les
hôtels. Le futur inimaginable ici, les touristes combinés aux employés vont changer la nature des lieux et des gens.
Finit de pleurer sur leur sort il faut continuer pour sécher cette eau de mer
donc nous pouvons encore profiter. La chaleur nous oblige à faire un arrêt dans
un petit village, afin de… et bien manger.
Aussitôt reparti Yves constate le dégonflement d’un de
ses pneus, coup de chance il y a un réparateur à 5 min. et en quelques temps il
fait la réparation. Et c’est reparti, nous avons moins accès que la veille à la
mer, les routes et sentiers en sont éloignés. Nous retrouvons notre lieux
d’arrivé sur l’île, c’est un jolie petit port de mer.
On nous avait dit que les plages étaient plus belles à
l’est mais ce n’est pas de notre humble avis. La route ce change en sentier
mais si nous voulons boucler la boucle nous devons continuer. Le bitume nous a
laissé tomber et la circulation est plus intense sur le gravier et cette boue
rouge, nous croisons tout de même des locaux qui viennent d’on ne sait où. Oups
le chemin est fermé, il y a la construction d’un nouveau pont, mais un petit
sentier a été aménagé en parallèle, une personne qui en sort du sentier en sens
inverse ,nous signifie que c’est bien là qu’il faut passer, bon bien allons-y ,
dans le petit sentier, pour traverser les cours d’eaux les gens ont mis de
petits troncs d’arbres transversalement attachés les uns aux autres par de la
corde, ça ne va pas vite mais ça avance. Quand dans une côte descendante il y a
ces troncs au bas,pour nous permettre de passer,(je n’aurais pas permis à mes
enfants de descendre sur la moto) mais ma moto arrivée sur les troncs glisse et tombe
en bas du pont, dans le regard que m’a jeté Yves, j’étais mort, mais en fait je
n’étais tombé que de 2 pieds et bien droit dans de la vase, mais m’a vu
ressusciter, son arrêt cardiaque venait de revenir NB :Le problème pour Yves n’était pas ma mort mais comment je
vais le ramener. En un rien de temps la moto a été sortie en état de marche,
que le miroir un peu tordu et le
protecteur du dessous à moitié arraché, et
moi une égratignure à la jambe Yves a terminé le travail sous la moto et a
arraché le protecteur, un peu de nettoyage et on est reparti nous devrons rendre les motos ce soir. Après
encore 30 min de mauvaises route délivrance le bitume. Comme la jument de
retour à l’étable les motos filles à toute vitesse. En apercevant un jeune qui
lave sa moto Yves nous arrêtent et le jeune lave nos deux motos ce sera plus
propice pour la remise des véhicules. Le jeune nous as surprit avec le prix
50 000 dong pour 2 bière (à cause de la poussière) et laver les deux motos
nous avons donné 100,000 c’est-à-dire $5, je sais un cher mais nous étions
satisfaits.Encore après une douche mais plus rentable cette fois et un repos
nous rapportons nos motos, il fait sombre et c’est bien mais tout est correct, un petit tour à notre
bar avant d’aller souper. La veille un restaurant avait attiré notre attention
de par ces bestioles vivantes à consommer.
Nous choisissons une partie de notre repas avec
l’assurance du proprio que ce serait parfait pour deux touristes, pour
accompagner le repas et pour la première fois nous prendrons du vin, Oups
depuis un mois que je suis en désintoxication de vin et ça marche, le vin n’est
pas très bon, la grenouille elle est excellente, nous complétons par d’autres éléments pour finir notre vin.
Aujourd’hui nous retournons à Ho Chi Minh, mais en avion
cette fois ci. Nous avons un superbe hôtel au centre-ville et pas cher, la
chambre est très grande et donne sur la rue et l’entrée de l’hôtel. Vite au
marché pour aller à la bouffe en après-midi nous partons à la découverte d’un
autre quartier de la ville et aussi
réserver la visite des tunnels de Cu Chi pour le lendemain. Nous sommes
encore un vendredi et les gens sortent le soir, devant notre hôtel ils sortent
des bancs et tables, tient un restaurant qui ouvre. À notre retour de notre
souper il y a beaucoup de vie devant notre hôtel et le Vietnamien parle fort et
comme partout il laisse des résidus de table.
Rendu à la chambre
le bruit est très élevé il y a comme un écho à notre fenêtre, j’ai eu beaucoup
de difficulté à dormir.
Au réveil de cette courte nuit nous sommes allés prendre
un excellent déjeuner, avec un service impeccable, le préposé que l’on se
permet d’agacer travail sept jours sur sept. Nous demandons un changement de
chambre pour notre retour, tout est réservé mais ils vont faire l’impossible.
Nous sommes de bon client et animons un peu le hall d’entrée. À quelques
minutes de l’hôtel nous prenons notre tour guidé d’une journée. Après 1h30 de
trajet nous arrivons à un temple ou il y a toute sorte de règle des prêtres
avec un brassard guident les touristes et les autres prêtres. Nous assistons à
une partie de la cérémonie, je ne connaît pas cette religion les gens habitent
dans leur famille. Un petit repas et maintenant les fameux tunnels de Cu Chi.
Qui furent reconnus surtout durant la guerre du Vietnam,
mais les travaux de ceux-ci commence dans les années 1940 et s’étendront sur
une distance de plus de 250km. Ils se composent de tunnels sur trois paliers, à
3mètre, à 6 mètre et à 9 mètre ce dernier étant le maximum de profondeur à cause
de la rivière Saïgon qui est à proximité. De nombreux pièges sont installés
pour éloigner les américains.
À notre retour nous sommes heureux de la journée mais
aussi de la bruine qui tombe, le restaurant sera fermé, mais non il y a des
gens mais la bonne nouvelle on nous a changé de chambre, pas aussi luxueuse
mais tranquille.
Nous retrouvons notre serveur au déjeuner avec plaisir
ainsi que ceux de la réception pour leur annoncer notre satisfaction.
Aujourd’hui un autre coin de la ville qui n’a pas encore été exploré.
Ce n’était pas prévu mais nous sommes dans une autre
vieille partie de la ville, situé de l’autre côté de la rivière cette partie
semble autonome, les rues sont très étroites et les commerçant abondent, nous
sommes un dimanche donc beaucoup de monde et d’activités dans les rues. Nous
arrêtons dans un bar (j’aurais dû écrire, bord, ça fait moins alcoolo, mais il
fait chaud) de rue et comme à l’habitude
les femmes sont absentent, généralement les femmes ne boivent pas et ne fument
pas, je n’ai pas de réponse ?.
À notre retour vers l’hôtel et nous croisons un groupe
qui nous semble être de la construction, casque, habit fluorescent mais nous
sommes un dimanche, et de près se sont un groupe de Japonais en visite. Un plus
loin, dans un milieux plus cossue il y a un groupe de Français qui arrive à
leur hôtel, et pendant ce temps il y a un travailleur qui est attaché au
quatrièmes étage qui a échappé un 5 gallons entier de peinture au sol, que
c’est drôle pour nous, les touristes sont éclaboussée leurs valises,
L’autobus ainsi que quelques motos stationnées tout près.
Je m’attendais à ce qu’il y ait des hurlements mes non rien (j’espère que c’est
de la peinture à l’huile, le souvenir sera plus persistant) .
Le lundi c’est comme à l’habitude, visite, marche, bière,
marche, repas, bière et j’en passe. Un peu de nostalgie c’est la dernière
journée au Vietnam.
Le mardi 1 décembre c’est le début du retour nous prenons
l’avion pour Tokyo, rendu à destination il faut apprendre le fonctionnement des
systèmes de transport, métro, train, train privé, et l’alphabet n’a aucune
connotation avec la nôtre, le tableau est super beau mais ?. Nous allons voir une agente
d’information qui nous renseigne un peu . Il faut trouver où nous sommes et où
nous allons et à la station où nous sortirons sur le tableau il y a un montant
d’inscrit, maintenant le billet , facile on appuie sur billet une série de
chiffres appariaient l’on appui sur le montant désiré et voilà notre billet, on
est parti. Le métro est bondé , mais il existe une propreté et un silence
difficile à décrire.
À chacun de nos départ nous demanderons aux agents
(pousseur) notre direction en leur montrant notre billet accompagné du nom de
la station, tous ont une bonne réponse
avec leur mains, et leur sourire, ici tout le monde est discipliné pas
question de dépasser de pousser ils suivent leur rang. Tout va bien dans le
métro le premier transfert aussi jusqu’à ce que le billet ne fonctionne plus ,
soit que nous avons changé de compagnie ou nous avons dépassés la limite du
billet. Mais je fais comme si rien n’était je reprends mon billet un coup de
hanche sur le côté pour passer le tourniquet et on est reparti, vous savez
quand on ne parle pas la langue, la même situation est arrivé à notre sortie, quand
ont pas avec la bonne compagnie.
Maintenant il faut trouver l’hôtel mais avec tous ces
symboles. Une chance j’ai choisi l’hôtel à proximité du métro, après quelques
minutes de marche, Yves montre le nom de notre hôtel à un jeune et d’un seul
geste il sort son téléphone intelligent et vlan c’est par là. Ici pas question
de traversé les rues sans le feu vert, même s’il n’y a personne. Un peu plus
loin toujours à la recherche nous entrons dans un garage notre papier en
m’arrivé. Maintenant que l’on sait nous ne sommes pas loin du métro
effectivement. Nous nous préparons à régler pour nos chambres, et non c’est à
trois heures que les entrées se font. Au moins nous pouvons laisser nos bagages
sur place et nous reprendrons le métro pour aller visiter le secteur Ueno de
Tokyo, comme il y a 37 millions de personnes nous ne pourrons pas tout voir.
Cette fois les billets fonctionnent tout le long du parcours, Nous déambulons
au gré des étonnements et des choses à voir. Nous arrivons dans la vieille
partie qui a pu conserver quelques bâtiments ancestraux
Nous sommes la semaine une chance parce que c’est bondé
de monde, plein de petit et gros commerce offrent leurs marchandises. Nous
choisissons un restaurant ou il y a du monde, plus de chance de bien tombé,
c’est comme un restaurant rapide pour jeunes, je prends une soupe de poisson
différents poissons crus, c’est bon mais ce n’est pas ça qui va me réchauffer,
nous sommes partis hier soir à 34 degré et ce matin il fait 11 degré, c’est une
bonne occasion pour user mon linge plus chaud. Nous devons retourner à l’hôtel
pour nous inscrire, nous sommes déjà des pros du métro, une fois rendu pas
question de faire les procédures il n’est que 14h30 c’est dans 30min. Nous
repartons bredouille pour passer un peu de temps cela nous permet de trouver un
seven eleven à proximité c’est là qu’il y a des guichets pour sortir des Yens.
A 15h05 nous sommes de retour, maintenant l’on peut payer nos chambres ici
aussi c’est un guichet nos plaçons nos billets et sélectionnons 1 chambre deux
nuits semaine une nuit fin de semaine et notre monnaie nous reviens, ah la
technologie. Nous allons visiter nos cubicules qui sont sur deux étages. C’est
petit mais confortable, parce que nous sommes fatigue du voyage de nuit le
lendemain nous le trouverons un peu dur le matelas. Le souper sera près de
Notre établissement et dodo.
Aujourd’hui, nous visiterons le quartier de Shibuya ,
c’est le carrefour pédestre le plus traverse au monde par jour.
Ici ce n’est que commerce lumière mais les gens sont
toujours silencieux, dehors les gens ont même des endroits pour arrêter fumer,
mais fument dans les restaurants. Nous sommes entourés de gratte-ciel, c’est
grand.
Le matin les gens ne déjeune pas au restaurant, nous nous
rabattons dans pâtisserie près de la station de métro avant de partir pour le
quartier de Shinjuku, l’a ou est situé la gare centrale de Tokyo (c’est grand)
. A notre arrive nous croisons la statue du chien Atchidon c’est un chien qui a attendu son maitre
décède pendant plus de dix devant la gare dans les années 1930 (film américain
Atchi). Ce que nous trouvons le plus difficile c’est la compréhension des
signes devant les commerces. Nous entrons dans un édifice afin de voir
l’intérieur, un agent nous indique quel ascenseur prendre pour aller au sommet
et voir la ville de tous ces angles, des bénévole nous offrent de nous guider
pour mieux comprendre la ville, c’est une grande ville en ta.. Encore une
journée de grande marche. Nous irons manger dans le coin de hôtel demain nous devons
partir tôt.
Ca y est nous entamons notre dernière journée, nous
partons à 5 h pour prendre le métro et le train qui amènera à l’aéroport. Pour
payer le train nous devons vider nos poches de monnaie si nous voulons avoir le
compte juste, ouf il ne reste que quelques pièces mais au moins nous serons à
l’aéroport. Je dois sortir de l’argent pour payer le déjeuner, ici au Japon la
carte de crédit n’est pas très utile.
Nous avons fait un voyage de 39 jours pris l’avion à
quelques reprises et nous ne nous sommes point prives de nourriture
Et le prix à payer pour tout ça moins de $3,500.00
canadien
Pour ma part c’est un des plus beau voyage que j’ai pu
faire
Je suis comme Ulysse qui a fait un beau voyage
Alain