Les coqs en Thaïlande sont comme les nôtres ils commencent
tôt, mais cela ne m’empêche pas de paresser, mais vers 7h le voisin prépare son
feu pour de la cuisine de rue et il est tout juste en dessous de ma fenêtre qui
est ouverte. Pendant le déjeuner mon hôtesse négocie pour moi un taxi parce que
je dois prendre le train ce soir, pour me diriger à Canthaburi ville plus à l’est. J’ai
jusqu’à 16h pour refaire un tour de ville les gens sont toujours souriant ici
et disponible. Au restaurant une jeune Thaï me permet d’utiliser son portable
pour charger mon appareil photo, et ce n’est pas la première fois que je
demande ce service. La veille à mon retour de l’hôpital par réaction de remerciement
j’ai spontanément collé Wetaka, est-ce pour cela qu’elle est absente pour mon
départ, parce que les Thaï se salut mais ne se touchent pas. Tient surprise mon chauffeur c’est le même que
la veille nous avons 40 km à faire est-ce possible de se rendre il fait le
ménage de son véhicule afin que je puisse m’asseoir avec lui dans la cabine, il
y a tellement d’amulette et autres choses que je peine à voir la route, si
Diane ma blonde était ici elle en aurait pour des semaines à remettre de l’ordre.
Tout au long du parcours il klaxonne pourtant c’est nous qui allons lentement.
À la gare j’ai pris un wagon lit pour ne pas avoir à dormir sur une banquette,
à 20h l’agent de bord commence à monter les lits il est trop tôt pour
dormir je vais au wagon restaurant pour
prendre une bière mais pas de bière le serveur me fait signe d’attendre après
quelques temps il apporte un verre de liqueur dans lequel il a inséré une
canette de bière locale et je dois boire à la paille pour ne pas éveiller les soupçons,
il y a beaucoup de sécurité qui circulent dans le train. Le train fait un bruit
et mouvement qui ne faciliteront pas mon sommeil, j’ai l’impression d’être dans
une laveuse à l’air climatisée. Mais à tout défaut il y a qualité je pourrai
ronfler sans me soucier des autres.
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mon fameux transport pour la gare |
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le train de nuit |
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